Archives pour la catégorie ‘Ça c’est beau’

Belgitude pur jus !

L’architecte et poète post-surréaliste Pierre Puttemans (1933-2013) a participé au mouvement d’avant-garde bruxellois « Phantomas » (lui-même issu de Cobra)…

Pour des nuits enchanteresses…

« Les plus belles berceuses jazz » réunit, dans un bel album illustré complété d’un CD audio, 15 chansons douces à la beauté intemporelle, interprétées par les plus belles voix de l’âge d’or du jazz américain…

« Il faut cultiver notre jardin » (Voltaire)

Auteur de romans sulfureux et de textes d’une grande sensibilité, mais aussi paria des lettres françaises et, de ce fait, aujourd’hui bien oublié, Jean de Bosschère (Uccle, 1878-Châteauroux, 1953) est un romancier, poète et peintre belge…

Au clair de la Lune…

Par Martin Linden.

« Une image vaut mieux que mille mots. » (Confucius)

Les photographies présentées dans « Une autre histoire de la photographie », largement inédites, dessinent une histoire de la discipline allant de son invention à nos jours en tenant compte de la dimension sociale de ses usages.

Grand œuvre…

Wikipédia assure que « Diego Rodríguez de Silva y Velázquez (baptisé à Séville le 6 juin 1599 et mort à Madrid le 6 août 1660), dit Diego Velázquez, est un peintre baroque considéré comme l’un des principaux représentants de la peinture espagnole et l’un des maîtres de la peinture universelle… »

En mode polémique…

Paru chez Flammarion, le superbe catalogue de l’exposition « Yves Saint Laurent 1971 – La collection du scandale » qui se tient jusqu’au 19 juillet 2015 à la Fondation Pierre Bergé – Yves Saint-Laurent à Paris revient sur un moment capital de la carrière du grand couturier français…

Magie noire…

La quatrième édition actualisée et complétée du « Guide Petit futé de la République démocratique du Congo » (la première est parue en 2006) par Caroline Thirion, Philippe Wyvekens et Médard Tambwe vient de sortir, et c’est un émerveillement que d’en parcourir les pages si bien informées et fort bellement illustrées.

Famille décomposée…

Dans « Ces morts qui se tiennent par la taille », l’écrivain belge Frank Andriat aborde un sujet particulièrement « touchy », celui de l’inceste, à travers le regard jeté avec insistance par une jeune femme sur une photographie de ses grands-parents défunts, retrouvée par hasard.

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