Archives du 29.09.10

Le clin d’oeil de la semaine

Par Théo Poelaert.

Les aventures de Babart

Troisième épisode des aventures de Babart de Wever.

La trinité cubaine

Ils ne sont pas deux : ils sont trois !

Tout le monde connaît Fidel, beaucoup de monde connaît Raùl, mais presque personne ne connaît Ramon.

Un ouvrage « révélateur »

Intitulé Le printemps des sayanim, le récit que le professeur Jacob Cohen publie ces-jours-ci à Paris aux Éditions de L’Harmattan stupéfie autant par son objectif que par son étayement : quoique mêlant réalité et fiction, il se propose de mettre à nu un système qu’il affirme bien réel, celui des sayanim –informateurs en hébreu– constitué de Juifs de la diaspora qui acceptent de collaborer ponctuellement avec le Mossad (les services secrets israéliens) ou avec d’autres institutions sionistes, leur apportant l’aide nécessaire dans le domaine de leurs compétences afin de mener une guerre psychologique pour défendre la « sacralité » d’Israël.

Histoire belge…

Ainsi donc, Babart De Wever, le Goering van Vlaanderen (à qui seuls les profs flamingants de la KUL ont pu reconnaître des qualités d’historien, on va le voir) s’est lancé dans une de ces saillies dont il a le secret en qualifiant, dans une tribune publiée par le Standaard, de « mythe wallon » l’assertion selon laquelle la collaboration pendant la Seconde Guerre mondiale serait un phénomène essentiellement flamand et il estime que la Wallonie n’assume pas son passé collaborationniste, contrairement à la Flandre.

Les aventures de Babart

Deuxième épisode des aventures de Babart de Wever.

Le clin d’oeil de la semaine

Par Théo Poelaert.

Tintin, sa peau, son corps, son père…

Saint-Hergé, patron des éditeurs ! Avec René Magritte, Georges Simenon, Jacques Brel et la famille royale, Georges Remi est la bénédiction de ceux qui, en Belgique, s’échinent à fabriquer des livres (activité ô combien périlleuse).

Don Camillo et les Peppone

Dans un remarquable essai intitulé La Couronne et la Rose, l’historien Vincent Delcorps, dépeint brillamment par le menu les rapports entre le roi Baudouin et le monde socialiste belge entre 1950 et 1974. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que les choses n’ont pas été simples !

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