Saluons l’heureuse initiative des Éditions Tallandier à Paris qui ont réédité les deux tomes de la remarquable somme historique de Philippe Franchini intitulée « Les guerres d’Indochine », un ouvrage qui brille autant par son érudition que par la fluidité de son propos et la perspicacité de ses interprétations.
Il y a décidément quelque chose de bêêêêlliqueux dans l’air du temps. Après l’ovni rétrograde Alexis Jenni, fraîchement et honteusement couronné par le Goncourt 2011 pour son apologique et indigeste L’art français de la guerre, voici le nouveau pétard mouillé du nouveau philosophe autoproclamé Bernard-Henri : La guerre sans l’aimer, ou l’art de mettre du plomb dans la tête des moutons intellos déboussolés, bêêêêhhh !