Chichah blabla

Pauvre Souhail Abdella Chichah. Depuis des mois maintenant, il souffre, il est malade et ne peut manifestement plus exercer son métier, voire même vivre normalement. En effet, et il s’en plaint depuis longtemps, sa vie devient un véritable enfer. C’est qu’il est atteint d’un mal qui touche aussi son employeur, l’Université de Bruxelles : la fuite de cerveau.

Chichah d’Iran…

Car, comment expliquer qu’un intellectuel de ce niveau, chercheur de surcroît, en arrive à n’avoir pour argument, face au grand maître de cérémonie Hervé Hasquin, que ces piètres mots « burka blabla » répétés à l’envi autant par lui que par les perroquets pluralistes venus l’aider à nier la liberté d’expression ? C’est donc en phase terminale que nous revient, courageusement, dans un dernier baroud d’honneur, le défenseur de… de quoi au juste ?

Car force est de constater que son message « Burka blabla », un argument non seulement fort, mais aussi repris par une meute d’incontrôlables intellectuels futurs prix Nobel de la paix, ne veut pas dire grand chose. Et invité à argumenter sa position, Abdella Chichah semble déterminé à faire comprendre aux invités de ce débat sur l’extrême droite que « burka blabla » et pas autre chose !

… travaille du Chichahpeau !

Nul doute que la fuite de cerveau subie par notre valeureux chercheur résulte encore du lobby juif, tout puissant en Belgique comme chacun sait. On aurait même identifié le sioniste qui s’attaque au cerveau de notre bienveillant démocrate pour en faire une bouillie infâme : un certain Creutzfeldt-Jakob.

Quant à l’Université Libre de Bruxelles, elle a cultivé en son sein tant de liberté qu’elle finit par devoir appliquer celle qu’appliquent tous nos concitoyens face à ceux qui parlent fort : la liberté de fermer sa gueule…

Vidéo @gillesdej

ÉLIOGABALE

Date de publication
jeudi 9 février 2012
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