Dictateur, c’est un métier…

Par Martin Linden.

La dictature syrienne et l’ONU

Par Martin Linden.

Un exemple à suivre ?

Édité chez Luc Pire à Liège par votre humble serviteur, l’essai historique d’Eddy De Bruyne intitulé « Léon Degrelle et la Légion Wallonie, la fin d’une légende », qui détaille par le menu l’histoire des « Wallons » engagés au front de l’Est sous l’uniforme boche entre 1941 et 1945, devrait faire quelque bruit dans le landerneau historico-politique belge.

Le « mariage du siècle » ?

Par Martin Linden.

Bachar al Assad, le boucher de Damas

Par Martin Linden.

Quand Bart De Wever revient sur le devant de la scène…

Par Martin Linden.

De la Blanche, et de la bonne !

« Tonton flingueur » dans le fameux film de Georges Lautner, Obersturmführer « Papa » Schulz face à Brigitte Bardot dans « Babette s’en va-t-en guerre », Monsieur Loyal de son complice Pierre Dac dans le célébrissime sketch du « Sâr Rabindranath Duval », parolier de la drôle de chanson « Débit de l’eau, débit de lait » chantée par Charles Trenet, roi du canular téléphonique dans les années 1960, Francis Blanche (1921-1974) a marqué son époque d’une empreinte joyeuse à travers les 121 productions cinématographiques, les 8 pièces de théâtre et les diverses productions télévisées auxquels il participa.

« Un fond de santé gauloise » (Robert Poulet)

La compilation intitulée « D’un Céline l’autre », établie et présentée par le célinomane David Alliot et préfacée par François Gibault, avocat et homme de confiance de Mme Lucette Destouches, veuve de l’écrivain, auteur d’une monumentale biographie en trois volumes de l’auteur du « Voyage au bout de la nuit », rassemble, outre une « Vie de Louis-Ferdinand Céline » par David Alliot, 200 témoignages divers (correspondances, journaux intimes, mémoires, coupures de presse, documents administratifs…) jalonnant la vie de l’écrivain Louis-Ferdinand Céline (1894-1961), en provenance de sa famille, d’amis intimes, d’admirateurs ou d’adversaires, depuis sa jeunesse passage Choiseul dans le quartier de l’Opéra à Paris jusqu’à sa mort à Meudon dans les Hauts-de-Seine.

La farce tranquille…

Reproduisant, au fil d’un récit dessiné par Joann Sfar et de commentaires rédigés par Clémentine Deroudille, des photographies, des manuscrits, des textes inédits, des extraits du « carnet de bord » personnel et même une recette de cuisine du maître, le catalogue de l’exposition « Brassens ou la liberté » qui se tient à la Cité de la musique à Paris jusqu’au 21 août 2011 constitue une biographie pour le moins originale de l’auteur du « Gorille » et de l’« Auvergnat », foisonnante, conviviale et riche de vie.

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