Archives du 12.06.13

Les télés se disputent la retransmission de la « drache nationale »…

Par Martin Linden.

Les nouveaux pauvres…

Par Martin Linden.

Art solaire…

Du 13 juin au 13 octobre 2013 se tiendra une superbe exposition intitulée « Le Grand Atelier du Midi » articulée en deux volets (« De van Gogh à Bonnard » et « De Cézanne à Matisse ») présentés respectivement au Musée des Beaux-arts de Marseille, Palais Longchamp, et au Musée Granet à Aix-en-Provence, à propos des artistes que le Midi de la France inspira.

« Les mots de Kin-la-Belle… »

Mélange de lingala, de kikongo, d’argot et de français, le parler kinois (recensé par Roger Mazanza aux Éditions Le Cri) constitue un beau modèle de joliesse et de créativité…

Feux intérieurs…

S’inscrivant dans le sillage du Caravage (1571-1610) pour ce qui concerne la maîtrise du clair-obscur et les thèmes véristes, l’œuvre du peintre lorrain Georges de La Tour (1593-1652) connut le succès sous Louis XIII avant de sombrer dans le purgatoire et renaître au XXe siècle.

Écologie bleue…

Par Martin Linden.

Turquie : vers la fin de l’ère de l’Erdogang ?

Par Martin Linden.

« J’ai toujours rencontré si peu d’esprit autour de moi qu’il a bien fallu que j’utilise le mien. » (Paul Léautaud)

Diariste plus talentueux – et plus venimeux – que les frères Goncourt ainsi que le montre le choix de pages de son « Journal littéraire » qui vient de reparaître en poche chez Gallimard dans la collection « Folio » (l’édition princeps, réalisée sous la direction du grand Pascal Pia, date de 1969), le romancier, chroniqueur littéraire et critique dramatique Paul Léautaud (1872-1956) fut durant trente-trois ans secrétaire général du « Mercure de France », sans doute la revue littéraire parisienne la plus prestigieuse de l’entre-deux-guerres.

Un aristocrate des lettres

Lozérien aux pieds dans la glèbe, ancien officier de commandos qui combattit dans l’Armée française de libération durant la Seconde Guerre mondiale et en Corée avant de devenir correspondant de guerre du Paris Match de la grande époque, Prix Albert Londres 1955, « Jean Lartéguy, le dernier centurion », à qui Hubert Le Roux a consacré sous ce titre une biographie publiée chez Tallandier à Paris, couvrit, de la Palestine à l’Indochine et au Viêt Nam, de l’Algérie aux différentes révolutions d’Amérique latine en passant par les soubresauts de la décolonisation en Afrique noire, la plupart des conflits qui secouèrent la planète et forgèrent ses opinions désenchantées sur l’âme humaine et l’avenir de l’Occident.

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