« Le souvenir, comme une bougie, brille le plus à Noël. » (Charles Dickens)

En 1859, l’écrivain anglais Charles Dickens (1812-1870), considéré aujourd’hui comme le plus grand romancier de l’ère victorienne[1], demanda à cinq amis[2] d’écrire avec lui un ouvrage à paraître dans l’hebdomadaire littéraire qu’il venait de fonder, All The Year Round.

Il s’agirait d’un court roman dont les chapitres seraient une succession de contes rédigés par chacun d’entre eux et qui se dérouleraient à Noël dans une même maison hantée.

À l’occasion des fêtes de cette fin d’année, les Éditions de l’Aube à La Tour-d’Aigues en publient la traduction française sous le titre La maison hantée – Contes de Noël, une initiative qui ravira les amateurs d’historiettes au sein desquelles l’humour so British se mêle au fantastique inquiétant dans les murs délabrés d’une vieille maison campagnarde isolée qui fait peur à tout le monde… sauf, disent-ils, à ses nouveaux locataires.

Des Christmas stories dans la plus pure tradition !

PÉTRONE

La maison hantée – Contes de Noël par Charles Dickens et ses amis, La Tour-d’Aigues, Éditions de l’Aube, collection « Mikrós classiques » dirigée par Julie Maillard, novembre 2025, 165 pp. en noir et blanc au format 12 x 18 cm sous couverture brochée en couleurs, 12 € (prix France)


[1] L’ère victorienne désigne les années de règne de la reine Victoria, de 1837 à 1901, qui ont marqué l’apogée de la révolution industrielle au Royaume-Uni ainsi que celle de l’Empire britannique.

[2] William Wilkie Collins (1824-1889), Elizabeth Gaskell (1810-1865), Adelaide Anne Procter (1825-1864), George Augustus Sala (1828-1895) et Hesba Stretton (1832-1911).

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Date de publication
dimanche 14 décembre 2025
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